En cette deuxième journée, ministres, dirigeants de grands groupes, universitaires ont notamment évoqué le futur de l'Europe, la transparence et la liberté de la presse.

Bruno Le Maire, ministre de l’Économie : « Les nominations européennes de cette semaine prouvent que les démocraties libérales sont toujours vivantes et vigoureuses. »

Patrick Artus, Natixis : « L’Union européenne n’est pas, pour le moment, une grande puissance. »

Alexandre Bompard, Carrefour : « Pour réguler l’économie, il faut prendre en compte l’intérêt des consommateurs. Mais aussi les intérêts stratégiques, géopolitiques et culturels. Ce n’est plus le cas. Airbus ne pourrait plus naître aujourd’hui ». Mais aussi : « La France a toutes les cartes en mains pour mener une révolution écologique et alimentaire. Citoyens, technologies, entreprises… Nous sommes prêts. »

Xavier Bertrand, Région Hauts de France : « Si la France veut être influente en Europe, elle doit être exemplaire en matière de modernisation, de réformes et d’adaptation à la mondialisation. »

Philippe Wahl, La Poste : « Le vieillissement de la population est un grand problème. Mais c’est aussi une véritable opportunité économique. »

Matthieu Courtecuisse, SIA Partners : « Il est dix fois plus cher de contrer une fake news que de la propager. »

Fabrice Fries, AFP : « Peut-être qu’Amazon a acquis le Washington Post par culpabilité. Mais l’investissement est remarquable et les journalistes ont les moyens de travailler efficacement. »

Hassan Saadoun, journaliste : « En Occident, vous parlez de tyrannie de la transparence, en Algérie, nous souffrons de la théorie de l’opacité. Nous ne savons même pas qui dirige vraiment le pays. »

Lucas Jakubowicz

Newsletter Flash

Pour recevoir la newsletter du Magazine Décideurs, merci de renseigner votre mail