En cinq ans, Ifeelgoods a levé treize millions de dollars et signé en juin dernier un partenariat d’un milliard de dollars de volume d’affaires avec le conglomérat japonais Itochu. De quoi laisser présager un avenir très prometteur.

Créée en Californie par deux Français en 2010, la start-up pionnière de la distribution de cadeaux numériques a le vent en poupe.

Décideurs. Votre start-up a-t-elle vocation à construire des ponts entre la France et San Francisco ?

Michaël Amar. Notre équipe R&D est basée à Paris où travaillent les deux tiers de nos effectifs, soit vingt-cinq collaborateurs. Et si notre siège social est installé à Palo Alto, nous avons rapidement développé des partenariats avec la France. C’est Nathalie Balla, la patronne de La Redoute, qui a été le catalyseur. Dès 2011, elle nous a proposé de monter une campagne pour sa marque. Nous n’étions pas prêts ! Mais elle nous a fait une proposition qui ne se refuse pas. Depuis, Ifeelgoods accompagne des entreprises comme la SNCF, BNP Paribas et L’Oréal.

 

Décideurs. Quelles ont été les retombées des Faba ?

M. A. Beaucoup plus inspirantes que je ne l’aurais pensé. Notre visibilité a été décuplée. Et cerise sur le gâteau, des investisseurs nous ont contactés dans les jours qui ont suivi la cérémonie.


Emilie Vidaud

 

 Lors des FABA, Michaël Amar a remporté le Trophée d’or - « High Tech moins de vingt millions de dollars en revenus ou financements »


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