Rachid Madid, Jonathan Djenaoussine et Alexandre Couilliot s’associent pour lancer Friedland, un cabinet d’avocats dédié au droit des affaires et aux contentieux pénal, civil et commercial.
Lancement du cabinet Friedland
Deux anciens avocats de White & Case, Jonathan Djenaoussine et Rachid Madid, unissent leurs expertises à celle d’un ancien de LPA-CGR, Alexandre Couilliot, pour fonder Friedland. Baptisée ainsi en référence à la célèbre bataille durant laquelle Napoléon sortit victorieux face à l’armée russe, la nouvelle structure a vocation à intervenir comme conseil en droit des affaires, droit pénal des affaires ainsi que dans le cadre de contentieux civil et commercial. « Le choix du nom Friedland fait également écho à notre ambition de créer une marque gage d'excellence au service d'une clientèle française et internationale », précise Jonathan Djenaoussine.
Une large compétence en contentieux
Rachid Madid s’est consacré pendant plusieurs années au financement LBO chez White & Case puis Mayer Brown. Il s’est peu à peu dirigé vers le droit pénal, en exerçant au sein du cabinet de Francis Szpiner puis en étant élu secrétaire de la Conférence, ce qui l’a amené à traiter de nombreux dossiers de droit pénal commun et des affaires.
Son associé, Jonathan Djenaoussine, concentre sa pratique sur le droit des affaires. Il conseille depuis plus d’une dizaine d’années, notamment depuis ses expériences chez White & Case puis Watson Farley & Williams, une clientèle composée d’établissement bancaires, de fonds d'investissement, d’institutions de développement et d’emprunteurs en France et à l'international dans le cadre d’opérations de M&A et de financement. Il a développé une pratique particulière dédiée aux entreprises opérant dans les Etats membres de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires. Enfin, Alexandre Couilliot a commencé sa carrière au sein du cabinet Lefèvre Pelletier & Associés (devenu LPA-CGR avocats), où il intervenait en conseil comme en contentieux en droit pénal commun, en droit pénal des affaires et en droit de la presse. Fort de cette expérience, il décidera de créer son propre cabinet en 2018 avant de cofonder Friedland en 2020, au sein duquel il consacre son activité à la défense pénale et au droit de la presse.
« Nous continuerons d’accompagner nos clients respectifs tout en développement une clientèle nouvelle commune », détaille Alexandre Couilliot. Du fait de son positionnement, le cabinet vise un large spectre de profils, allant des particuliers aux dirigeants d’entreprise en passant par des établissements bancaires, français et étrangers. « La pratique de Jonathan Djenaoussine et la mienne ont un lien marqué avec le continent africain», ajoute Rachid Madid. La jeune structure ambitionne déjà de s’agrandir. « Nous souhaiterions concrétiser ce projet dans les mois à venir et intégrer dans notre équipe des collaborateurs et des stagiaires », confie Alexandre Couilliot. Pour l’heure, Friedland a réussi son démarrage.
