Ardavan Amir-Aslani

 

Ardavan Amir-Aslani
Droit public international
Cohen Amir-Aslani

 

• Auteur d’Iran-États-Unis, les amis de demain ou l'après-Ahmadinejad en 2013
• Un dossier marquant : la saisie du yacht de Saddam Hussein
• Arrivé en France en 1979

 

« Un homme ne peut suivre que des principes, pas d’autres hommes. »

 

Son nom, sa visibilité, son bagout et son histoire : tout, chez Ardavan Amir-Aslani, pourrait le faire passer pour un acteur de cinéma. L’avocat de 51 ans est pourtant tout le contraire et refuse d’être sous le feu des projecteurs. Ce séducteur à la tête d’un des cabinets les plus confidentiels de Paris s’est construit seul. Il parvient à faire de l’exercice de son métier d’avocat un moyen d’intervenir en droit du commerce international, laissant de côté la carrière de diplomate à laquelle il se destinait. Sa spécialité ? Les relations d’affaires entre l’Europe et le Moyen-Orient.
Né en Iran de père médecin, il rate volontairement le concours de médecine. Il se passionne en revanche pour son pays et s’attache, depuis le début de sa carrière, à œuvrer pour son bien. Raison pour laquelle la levée des sanctions internationales fin 2015 est pour lui une vraie raison de se réjouir. L’année 2016 est celle de la consécration : ouverture d’un bureau à Téhéran, voyage hebdomadaires dans son pays natal, et… signatures des contrats commerciaux de PSA. Un avocat épuisé mais heureux. Celui qui se désigne comme un des rares émigrés iraniens de sa génération à être devenu avocat d’affaires enseigne à ses deux filles que « la succession ne peut pas être reçue comme un don mais doit être arrachée. »