
Kering
L’heure est au repositionnement chez Kering. Plombé par les mauvais résultats de sa filiale Gucci, le groupe doit mettre les bouchées doubles. Au menu : croissance organique et virage stratégique pour certaines marques emblématiques.

L’heure est au repositionnement chez Kering. Plombé par les mauvais résultats de sa filiale Gucci, le groupe doit mettre les bouchées doubles. Au menu : croissance organique et virage stratégique pour certaines marques emblématiques.
La page PPR définitivement tournée, Kering n'en a pas pour autant fini de se transformer. Comme l'explique Jean-François Palus, le numéro deux du groupe, place désormais au travail de précision qui doit faire du géant du luxe un joyau.