Le fondateur de Priceminister compte parmi les trente Français sur lesquels nous avons choisi de parier avec optimisme et fierté en 2015…
C’est un secret de polichinelle : huit mois après avoir passé le relais à Olivier Mathiot à la tête de Priceminister, Pierre Kosciusko-Morizet serait en train de constituer avec Pierre Krings, cofondateur et ancien DG de Priceminister, une équipe d’une quinzaine de personnes pour plancher sur le concept de sa nouvelle start-up. Le pitch ? «?Une entreprise globale, capable de générer plusieurs milliards et utile pour les gens?», déclare celui qui s’intéresse de près aux problématiques du futur comme «?le réchauffement climatique?» et «?le vieillissement de la population?». Rien de très étonnant dans une famille dévouée à la chose publique. Incontournable du Web français, il s’est donné deux ans pour avoir «?la bonne idée?». En attendant, celui que ses camarades de classe surnommaient «?Cosinus?» pour son sens du calcul coût-avantage, soutient des start-up avec sa holding Kernel et le fonds d’investissement Isai. En 2014, il a misé sur dix entreprises dont Doctolib et Cord avec Xavier Niel.

Pourquoi on parie sur lui : comme il le dit, sa bonne idée pourrait «?sortir dans trois mois?».
Sa réputation : c’est un pionnier qui n’a pas froid aux yeux et qui a le talent de savoir bien s’entourer au point de cultiver des amitiés y compris avec ses concurrents.
Son secret bien gardé : il a déclaré à propos de ses récentes vacances bien méritées : «?Deux mois, j’ai trouvé ça beaucoup trop long !?» PKM serait-il un workaholic ?

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